Wednesday, September 24, 2025

Trans

 Below, a translation by Perplexity AI of a Globe and Mail piece reporting

on a speech by Tiff Macklem, Governor of the Bank of Canada...

Here is the French translation of the article:

Les politiques de Trump soulèvent des questions sur l’avenir de la domination du dollar américain, affirme Macklem

Mark Rendell, Reporter économique

Le gouverneur de la Banque du Canada, Tiff Macklem, à Ottawa le 17 septembre. Il affirme que les politiques économiques du président américain Donald Trump modifient la perception qu’ont les investisseurs du dollar américain.

Blair Gable/Reuters

Les politiques commerciales erratiques du président Donald Trump et ses tentatives d’influencer la Réserve fédérale ont suscité des interrogations sur l’avenir de la politique monétaire des États-Unis et sur le statut du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale, a déclaré mardi le gouverneur de la Banque du Canada, Tiff Macklem.

Dans un discours prononcé à Saskatoon, M. Macklem a indiqué que la décision du président américain d’imposer des tarifs douaniers généralisés à la plupart des partenaires commerciaux, tout en poursuivant des déficits budgétaires massifs, modifie la manière dont les investisseurs perçoivent le dollar.

« Il est trop tôt pour savoir s’il s’agit du début d’une nouvelle ère. Pour l’instant, le billet vert reste dominant et – en l’absence d’une alternative claire – je crois qu’il continuera à être la monnaie de réserve mondiale dans un avenir prévisible. Mais pour beaucoup, sa valeur en tant que couverture en période de stress a été écornée », a déclaré M. Macklem.

Il a ajouté que les tentatives de M. Trump d’influencer la Fed « soulèvent des questions sur la poursuite de l’indépendance de la politique monétaire américaine ».

Ces derniers mois, le président a mené une campagne sans précédent pour influencer la banque centrale indépendante de son pays et la pousser à abaisser ses taux d’intérêt. Il a menacé de limoger le président de la Fed, Jerome Powell, a nommé un proche allié, Stephen Miran, au conseil des gouverneurs de la banque, et a tenté de démettre de ses fonctions la gouverneure Lisa Cook – une décision que cette dernière conteste devant les tribunaux.

La Fed a réduit ses taux d’intérêt la semaine dernière pour la première fois en neuf mois. M. Powell a expliqué que la décision de reprendre la détente monétaire était liée au ralentissement du marché du travail, et non à des pressions politiques.

La Banque du Canada a également repris ses baisses de taux la semaine dernière après trois maintiens consécutifs.

M. Macklem a déclaré que l’économie mondiale traversait une transition fondamentale : la croissance du commerce mondial a ralenti ; les États-Unis ont perdu leur place de premier pays commerçant, tout en conservant leur rôle central dans la finance mondiale ; et les déséquilibres commerciaux entre pays se creusent.

« Le président Trump n’a pas provoqué ces mégatendances, mais ses politiques réduiront probablement encore les échanges avec les États-Unis et pourraient affaiblir le dollar américain en tant qu’actif de référence mondial », a estimé M. Macklem.

Il a ajouté que la récente performance du billet vert pourrait constituer un signal d’alarme. Habituellement, un pays qui impose des tarifs voit sa monnaie se renforcer. Or, le billet vert s’est au contraire déprécié, tandis que le prix d’autres valeurs refuges comme l’or a grimpé.

« Le “Jour de Libération” du président Trump a ébranlé la confiance mondiale, et le rôle de valeur refuge du dollar a été remis en question. Les marchés boursiers se sont depuis redressés, mais le dollar s’est déprécié d’environ 10% face aux autres grandes devises depuis le début de l’année, tandis que le prix de l’or a bondi de plus de 40% », a déclaré M. Macklem.

Une grande partie du discours était consacrée à la manière dont le Canada devrait naviguer dans ce climat économique changeant. Il a souligné que les responsables politiques et les entreprises canadiens devaient se concentrer sur la diversification des marchés au-delà des États-Unis, ainsi que sur l’amélioration de la productivité et de la compétitivité domestiques.

« Nous aurions dû mettre en place ces changements il y a 15 ans. Mais le meilleur moment après coup, c’est maintenant », a-t-il affirmé.

Would you like me to refine this translation into journalistic French (as it would appear in Le Monde or La Presse), or keep it closer to a literal translation of the English?

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Copilot:

As of September 2025, what are the world's most important trading partners (5)?

🌍 Here's a snapshot of the top global trading partners as of September 2025, based on trade volume, strategic influence, and economic interdependence:

                                                                            

                                             

🔍 Notable Trends
China–ASEAN trade continues to surge, with over $500 billion in volume, reflecting growing regional integration.

U.S.–China trade remains robust despite geopolitical tensions, driven by mutual dependence in tech and agriculture.

Germany, Japan, and South Korea also rank high individually, especially in high-tech exports and automotive sectors.

If you're curious about how these relationships shape investment flows or supply chain resilience, I can dive deeper into specific sectors or bilateral dynamics.

                                                                   *     *     *

Can you put numbers on this, to give me an idea of by how much?

Absolutely—let’s quantify the top trading relationships as of mid-2025 using the latest available data. These figures reflect total trade volume (exports + imports) and give a sense of scale:


                                                                                 

📈 Global Trade Context

Total global trade in goods and services grew by about $300 billion in the first half of 2025, reaching an estimated $25–26 trillion annually.

Services trade is growing faster than goods, with annual growth around 9%, compared to 3.5% for goods.

China and the EU are running large surpluses, while the U.S. trade deficit continues to widen.

If you want to break this down by sector—like energy, semiconductors, or agriculture—I can pull up those numbers too. Or we could look at how these flows affect investment trends and supply chain strategies.

                                                                      *     *     *

What about a ranking by how much each individual country exports?

Absolutely—here’s a ranked snapshot of the top exporting countries in 2025, based on total export value in USD. These figures reflect goods and services combined, and they give a clear sense of global trade powerhouses:

                                                                             


These top 10 countries collectively account for a massive share of global exports, driven by industrial capacity, innovation, and strategic trade relationships.

If you’d like to explore how these rankings shift when looking at exports per capita, trade surplus, or sector-specific dominance (like semiconductors or energy), I can break that down too.

                                                                      *     *     *




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