this from Libération: Russia announced, Thursday, having achieved complete control
of the Eastern Ghouta bordering Damascus, thanks to the work of the Russian military
police. Below, some excerpts from Wikipedia to better appreciate the geography of this region.
The Ghouta is an oasis that surrounds Damascus, essentially a greenbelt. It was created
in Antiquity, though irrigation works. Water comes from the Barada, which is a captive river.
There is as well secondary river to the South, the Parpar. The canals flow through Damascus,
surrounded by restaurants and terraces. The surrounding greenbelt feeds the city, although
urban expansion has been encroaching on this valuale resource. Hopes to get water from the
Golan Heights were abandonned after 1973.
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La Ghûta — le mot arabe ghouta ou ghoûta (الغوطة, al-ġūṭa) signifie oasis, dépression — désigne les terres cultivées qui entourent Damas (Syrie) et qui constituent une oasis dans le désert de Syrie. L'eau qui irrigue cette oasis vient principalement du Barada, une rivière qui descend de l'Anti-Liban dans une gorge étroite. Le Barada a été aménagé et son eau captée pour irriguer toute la plaine. Les eaux restantes s'évaporent et s'infiltrent dans le sol du lac marécageux en bordure du désert à l’est de Damas, le Bahîra `Atayba (بحيرة عتيبة).
Ces travaux d'irrigation remontent à l'Antiquité. L’essentiel de l’eau du Barada ne suit pas son cours naturel, car depuis l’Antiquité, les Nabatéens, les Araméens et les Romains ont construit et entretenu un système de captages pour permettre l’irrigation de la plaine créant ainsi la Ghoûta. L'extension actuelle de la ville de Damas stérilise de plus en plus de terres arables autour de la ville. L'absence actuelle de nouvelles ressources en eau pose un problème pour la ville de Damas, puisqu'il faut laisser à l'agriculture sa part de l'eau du Barada. Les projets de captage d'eau dans le Golan ont été abandonnés depuis l'occupation du plateau par Israël en 1973.
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Le Barada1 est un endoréisme qui prend sa source dans l'Anti-Liban vers 1 500 m d’altitude, qui s'écoule vers le sud-ouest puis sud-est sur environ 50 km pour arroser Damas.
Après plus de 20 km d’un cours tranquille, le Barada traverse le bassin d’`Ayn al-Fîja7 où il double de débit en recevant l’apport de sources. `Ayn al-Fîja, à 850 m d’altitude, est un lieu de villégiature pour les Damascènes, on y trouve de nombreux restaurants au bord de la rivière à l’ombre des arbres. Ensuite le Barada s’enfonce dans une gorge jusqu’au niveau de la cuvette de Damas. Cette région très belle et très agréable de Damas se nomme « Rabwé » (Gorge de Rabwé) ; elle est très animée du fait des bars restaurants situés tout au long de la route, de part et d'autre du fleuve.
L’essentiel de l’eau du Barada ne suit pas son cours naturel car depuis l’antiquité, les Nabatéens, les Araméens et les Romains ont construit et entretenu un système de captages pour permettre l’irrigation de la plaine créant ainsi la Ghouta8 à l’est et au sud de la ville. Le Barada va se perdre dans un lac marécageux dans le désert à l’est de Damas, le Bahîra `Atayba9.
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Parpar ist der Name eines Flusses in Damaskus in Biblischen Zeiten (2 Kön 5,12 EU). Sein heutiger Name ist wahrscheinlich Nahr el-Awadsch.
Außer dem Barada (der mit dem Abana gleichgesetzt wird) ist der Parpar der einzige Strom in der Gegend von Damaskus.
Die kleineren Flüsse, die sich vereinigen und den Awadsch bilden, entspringen an den Osthängen des Hermon und fließen etwa 30 km südwestlich von Damaskus zusammen. Danach schlängelt sich der Fluss durch ein tiefes felsiges Flussbett, bis er sich schließlich in einem Sumpf südöstlich von Damaskus verliert. Die Länge beträgt einschließlich Quellen 64 km.
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